22.04.2011
lirva 12 ?
"Faut-il avoir peur d'un 21 avril l'envers?"
Et mon postérieur, c'est d'la volaille?
Les médias n'en ont que pour le fait que Marine Le Pen arrivera peut-être au 2ème tour des présidentielles dans un an.
Et pour les questions de fond... (par exemple: comment faire vivre la liberté, l'égalité et la fraternité avec de moins en moins de ressources énergétiques et de pouvoir d'achat), les médias démissionnent.
Je ne vois pas pourquoi un pays riche qui le deviendrait un peu moins serait condamné à être de plus en plus égoïste et sectaire???
Bref, les médias m'énervent avec leur nouveau joujou en forme d'épouvantail, et je veux leur faire bouffer après les présidentielles!
00:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
14.04.2011
Mystère Simone Gbagbo : le boulanger, la boulangère... A quand le petit mitron?
J'ai un profil Facebook dédié aux aux réseaux politiques, seul profil sur lequel j'accepte en contact "amical" des inconnus. Ce profil est sous le nom "Guillaume James Desrosiers" (car auparavant, je m'étais amusé à être "James Lapolitique", jeu de mots certes peu reluisant, mais qui montrait à l'évidence qu'il s'agissait d'un pseudonyme; j'avais écrit mon vrai nom à la première page du profil).
J'ai donc un jour accepté pour "amie" une certaine Félicité. Je me rends compte aujourd'hui que je suis "ami" avec Simone Gbagbo. Cette Félicité a changé de nom!!!
Et là, pour la première fois de ma vie, lorsque je clique pour supprimer "l'amitié Facebook" avec Simone Gbagbo, il m'est répondu : "la connexion a échoué" et ce lien "d'amitié" demeure. Je ne sais pas comment je vais me débarrasser de cette Simone Gbagbo. Mais si cela ne marche pas normalement dans les heures qui viennent, je vais écrire un message salé aux responsables de Facebook !
Je n'aurais jamais accepté d'être ami avec un ou une "Gbagbo" sauf si cette personne avait dit n'avoir rien à voir avec le chef d'Etat ivoirien, ou alors être clairement opposée à sa politique.
Il se trouve que j'étais au Burkina Faso depuis quelques jours lorsque la rébellion lancée contre Gbagbo en septembre 2002 plongea la Côte d'Ivore dans une guerre civile, épisode qui fut stoppé sans solution. Beaucoup espérent aujourd'hui que l'arrestation de Laurent Gbagbo permette de tourner cette longue page douloureuse. Ce que je sais, c'est qu'il faut mettre fin à une certaine "ivoirité" qui se trouve être raciste, notamment contre les Burkinabés. Je ne veux pas les défendre à tout prix, aveuglément. Mais je n'oublierai jamais cette femme réfugiée, de retour au Burkina, cherchant n'importe quel travail pour survivre, ayant perdu son mari, tué en Côte d'Ivoire pendant ces événements.
Le racisme a ce travers cancéreux ou radioactif de ne pas s'arrêter aux frontières, d'être international, mondial... Celui qui gangrène la Côte d'Ivoire doit guérir au plus vite pour le bien des Ivoiriens, pour la paix dans leur pays, pour les immigrés qui y vivent, et pour le bien de chacun des pays frontaliers.
Alors si Gbagbo était le boulanger qui roulait les autres dans la farine, Simone est donc la boulangère qui m'aurait bien roulé aussi... Tiens, ils ont été arrêtés, tout comme Louis XVI et Marie-Antoinette. Je ne leur souhaite pas la même fin!
11:28 | Lien permanent | Commentaires (2)