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30.10.2008

Blogs MoDem, Disney, Bisounours et une p’tite poésie en intro

Aujourd’hui sur son blog, Mickey Bizousse avait écrit que c’était une belle journée.

Ensuite je suis allé me promener dehors, la pluie tombait.

Mais j’ai réalisé que cette pluie n’était qu’une vue de l’esprit.

Car Mickey ne se trompe jamais.

En fait, la vie est belle, et il fait toujours beau.

C’est la façon de voir les choses de Mickey qui est la bonne.

Mickey peut changer nos vies.

Il a déjà changé la mienne !

Mais ce soir, je me suis chopé un des rhumes ! Je ne sais pas pourquoi... alors, pour me consoler, je vais rester au chaud, et me regarder un bon Disney. J’hésite :

Marielle et les 7 nains à la vice-présidence parisienne (oui je sais, il y a un huitième mousquetaire...)

La bielle au blog coulant (à noter que ce sont les commentaires qui coulent le blog)

Rox et Mandret

Leroy-Lion-Morin

La benne et le Grognard n'est plus édité, mais j'ai sa nouvelle version: Alice au pays des mares-veille,

Mervé l’enchanté

Le livre de la banlieue (où le karcher se retourne parfois contre Sarko)

Les 101 delmassiens

Taha et le chaudron à geek (c’est ma meilleure!)

Un peu tiré par les cheveux:

Wiki l’ourson (pour la qualité de ses connexions démocrates)

Le faux-cul de Notre-Dame (pour le côté anonyme et pour la référence religieuse)

 

En fond de tiroir, il me reste quelques laborieux calembours:

Ma MIP au pin’s

Peter Dan

(Oréade) Centrillon

Pocahypos

Aladdinxosphère

 

Et évidemment : Dingo

 

Avant de conclure, j'ai à préciser que c'est un humour sympathique, et aucunement de l'aigreur, qui m'anime. Mais conjointement, un autre sentiment m'anime: cette même envie qu'à mes débuts en politique, de voir en notre Mouvement Démocrate un parti exemplaire.

Alors finalement, je me demande si je ne vais pas me laisser convaincre par un film réel! Mais un Disney quand même.  Aux dessins animés, on finit tôt ou tard par préférer la réalité, non? D’ailleurs, j’aurais aimé rencontrer ces quatre vraies filles, mais je n’ai aucune idée de qui il s’agit, et ça me taraude... Allez, ce soir, j'opte pour :

Un amour de coccinelle

ah mais non, c'est vrai, j'oubliais, c'est aussi un montage! Tout film, tout blog est montage.

 

20.10.2008

Pour avoir des commentaires? Faites des articles à la con! SUITE ET FIN...?

Grâce à des commentaires que j'ai trouvés très positifs de Karima, Timothée, Antonin, orange sanguine, le crapaud du marais, Mirabelle, Smaël, Claudio, j'ai pu approfondir et préciser ma réflexion personnelle.

Je vous la livre sans prétention.

Ma question tourne notamment autour de: Pourquoi commente-t-on quand on n'est pas d'accord, plutôt que quand on est d'accord?

C'est logique bien sûr. Si on observe nos discussions face à face, quand on répond "oui", la discussion risque de passer à autre chose; quand on n'est pas d'accord, on débat sur le sujet en question. On le maintient en vie.

OK. Mais ça fait finalement vivre des débats autour de futilités ou de stupidités sur les blogs. Dans les réunions politiques aussi.

Je l'ai observé au niveau municipal: on va s'émouvoir de débilités des opposants et passer du temps à les commenter. Et passer peu de temps à construire autour des bonnes idées du projet que l’on porte, ou que l’on s’apprête à porter.

Je prêche pour l’autodiscipline. Mais elle est auto-censure, SAUF... si on prend confiance dans notre projet. Et donc le mieux serait que dès que l’on commence à « cracher » sur les opposants, vite, vite, on se reprend! Et on s’investit dans le constructif.

Relions cela à la facilité de commenter des inepties. On se sent plus à l’aise à les dénoncer plutôt qu’à apporter un peu de soi dans quelque chose de valeur. Je pense qu’on manque de confiance en soi sur les sujets importants, d’une part. On ne se sent pas assez compétent : travers très français, ce n’est pas un Américain qui pensera de cette manière-là par exemple.

D’autre part, on sait que si on se lance dans la réflexion sur un sujet profond, on va devoir mobiliser nos capacités intellectuelles. Cela va nous demander du temps. Cela nous fait un peu peur. Si on devient responsable d’un projet en y étant partie prenante, on devra en répondre (= étymologie de 'responsable'). On sent d’intuition cette perte de liberté. On la fuit.

Bref, on préfère lâcher un petit commentaire que de prendre du temps seul à réfléchir. En outre, l’écran de l’ordi n’est pas agréable pour nous abandonner à une réflexion profonde.

Ma conclusion :

Pour écrire de bonnes choses, des choses saines sur l’ordi, il faut savoir en être distant. C’est le combat de la liberté. Celui de l’Homme toujours maître de sa machine.

Dans cette lutte, j’ai souvent reconnu avoir perdu des batailles (Facebook… !) Mais je me sens être en train de gagner la guerre.

Et ça c’est du bon.

Pour avoir des commentaires? Faites des articles à la con!

Mon hypothèse est validée:

Pour avoir des commentaires? Faites des articles à la con!

En effet, j'ai posté hier quelque chose de débile. On me l'a fait savoir par les commentaires. Mais je le savais, j'avais prévenu ici (il s'agit de mon blog de réflexions personnelles, qui comptabilise la moyenne astronomique de 2 visites par mois ;-)

 

Ce que j'avais constaté, c'est que mes meilleurs écrits n'avaient pas reçu le moindre commentaire. C'est ici, , et . Certes, c'était pendant l'été. Mais il en est de même pour ma note sur le racisme, dont la qualité n'est pas top, cependant la brièveté et le sujet auraient pu susciter des réactions. Alors que, hier, 6 commentaires après plus de 20 heures en ligne, c'est bien au-dessus de ma moyenne habituelle.

 

Bref, sur les blogs, pour attirer l'attention, il faut :

- soit dégainer plus vite que Lucky Luke sur la sarko-sainte ACTU

- soit être très pertinent

- soit apporter une idée géniale

Hum hum, pour ces deux derniers cas, ce n'est pas évident de tutoyer les étoiles tous les jours, non?

 

Il reste une possibilité: faire le buzz. Il y a pour cela des incontournables:

- médire (j'ai horreur de ça) ou critiquer, si possible le chef, mais je n'aime pas trop ça non plus en fait.

- blaguer (je ne suis pas bon à l'écrit, ou alors en-dessous de la ceinture ;-)

- publier une connerie plus grosse que soi. Pour une fois, je me suis forcé, et j'ai un peu réussi mon coup! Je note toutefois que: buzz il n'y a pas eu. Mais je suis incapable de dire si la bêtise formulée était trop énorme, ou trop petite, ou que la com' était trop faible (pas de vidéo...). Certains ont d'ailleurs dû se douter de quelque chose. Et beaucoup ont dû ne pas daigner répondre.

Il faut dire que je ne suis pas un buzzer en série. Ca ne me manque pas. Mais j'aimerais bien connaître ma première fois :-))

 

(Pardon aux quelques amis et autres, dont j'ai fait user le clavier pour rien hier)

19.10.2008

Il est temps de revenir aux francs

Il faut revenir au Franc, et le dévaluer à fond les manettes !

Pourquoi ?

Manifestement, l’Europe est en panne. L’accord trouvé pour garantir nos banques n’est que de façade, personne ne croit, même parmi nos dirigeants, que cela va marcher.

Pour repartir du bon pied, il faut repartir sur des bases saines, nationales ; temporairement bien sûr, afin de rassurer nos compatriotes, consolider notre économie, puis négocier à partir de principes concrets et réalistes une nouvelle Union monétaire.

L’euro nous prive trop de marges de manœuvre.

 

Expliquons cela simplement : si nous dévaluons, nous vendrons plus pendant la crise, avec notamment les Français qui achèteront plus de produits français qu’étrangers (puisque leurs monnaies seront trop fortes). Cela relance notre marché national et nos marchés locaux !

On fait ça un an ou deux, histoire de se remettre à flot, puis nous demandons humblement à la zone euro de nous réintégrer et le tour est joué !

 

Qui dit mieux?

13.10.2008

de mon point de vue, nos blogs...

De mon point de vue, de plus en plus éloigné, nos blogs MoDem se regardent de plus en plus le nombril, ces temps-ci.

Hors, comme l'a dit Bayrou à un café démocrate il y a presque un an, c'est cela la maladie du PS, et c'est cela qui avait fait gagner Blair (ça date, mais l'argument reste puissant) : se regarder le nombril =  danger !

Certes, personne sur la planète ne comprend rien à la crise. Mais de là à ne pas s'y pencher... c'est de la flemme, ou de l'inconscience?

Et moi donc alors? Au début de l'année, j'en avais indirectement parlé... on peut le retrouver , si ça vous intéresse. Je m'y trouve un soupçon prophétique.

 

08.10.2008

pourquoi je ne parle pas souvent d'éducation

Je suis prof d'histoire-géo en collège-lycée et je ne traite jamais d'éducation ici.

D'ailleurs, quand je me suis inscrit aux commissions thématiques du MoDem, j'ai demandé conseil par mail à Corinne Lepage, hésitant à choisir entre "éducation" et "immigration/intégration" (je ne me souviens pas du titre exact, mais je me sens plus impliqué et plus compétent dans ce thème). Corinne m'a simplement répondu : "pourquoi pas les deux?" ... Me voici inscrit dans les deux.

Une amie du MoDem, prof elle aussi, ma demandé via Facebook pourquoi je ne parlais pas souvent d'éducation. Je viens de lui répondre ceci:

"Non, je ne parle pas d'éducation, car je ne suis pas à l'aise sur ce sujet. Notre système national est trop formaliste. Toutes les réformes ne s'attachent qu'à la forme.

Si je parlais d'éducation, j'essaierais d'en parler au niveau du fond, de l'esprit. C'est toute la société qui doit se demander ce qu'elle transmet. Or elle est en pleine crise d'identité. Si notre société avait le courage de se regarder dans une perspective lointaine, elle pourrait traiter ces questions ensemble (identité et transmission), mais hélas, notre société s'arrime à ses peurs.

Cette crise de confiance se retrouve au niveau financier. C'est le principal problème de la crise bancaire actuelle: ceci n'est pas mon avis personnel, c'est un banquier spécialiste de la bourse qui m'a dit cela!"

A+ les amis!

(un peu de mes nouvelles: je suis très heureux dans cette période d'éloignement temporaire de la vie politique)

13.08.2008

rentrage de vacs et taguage

Je rentre d'une semaine en Normandie hors Net (et ce n'est pas un poncif, mais ce que je ressens= ça fait du bien en profondeur).

 

Je m'aperçois avec bonheur qu'on pense à moi:

FVZ puis Karima m'ont tagué dans une chaîne. Je n'ai jamais suivi ces trucs-là, mais là pour une fois, je le fais car j'ai le temps, je rentre reposé et je trouve l'idée à mon goût. Et puis quand même: tagué 2 fois!

 

Il s'agit de:

1- citer la personne qui vous a "tagué"
2- indiquer le règlement
3- choisir un livre, l'ouvrir à la page 123
4- recopier à la 5ème ligne, les 5 lignes suivantes
5- indiquer titre, auteur, éditeur, année d'édition
6- taguer 4 personnes et les prévenir sur leurs blogs

 

Alors c'est "ti-par"!

"AUDIOMETRIE n.f. Mesure de l'acuité auditive.

AUDIONUMERIQUE adj. se dit d'un support d'enregistrement sur lequel les sons sont enregistrés sous forme de signaux numériques.

AUDIOPHONE n.m. petit appareil acoustique que"

Il s'agit du dictionnaire (non sans blague...) le Petit Larousse de 2005, des éditions du même nom.

Elargissons: En cette année, la préface indique l'entrée aux noms propres de Lewis Trondheim, auteur de BD que je kiffe tout particulièrement.

 

Je tague Smaël, Florent et Frédéric (je triche, ces 2 derniers ont le même blog, mais c'est si jouissif de tricher :-) et enfin Sophie, pour qu'une fois de plus, son blog ressuscite ;-)

 

23:43 | Lien permanent | Commentaires (4) | Tags : blog