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22.03.2010

Actus... infos... peur du vide.

 

Je suis surpris que le flux énorme d’informations à travers Internet, télévisions, radios, affiches et journaux continue et s’amplifie.

 

Samedi dernier, j’écoutais France Inter. L’émission de Philippe Collin, « la cellule de dégrisement ».

Je me suis rendu compte que cette émission réveillait en moi des angoisses. (évidemment, si l’on cherche les sources d’une angoisse, on peut travailler pendant 10 ans et n’avoir pas fini de trouver.)

Une source trouvée ce matin procure en moi une réflexion.

Je m’étonnais du ton léger, guilleret, joyeux, de Collin et de son collègue Mauduit pour évoquer des choses pas toujours réjouissantes. Ce n’est pas une accusation de ma part. Leurs intentions, leurs méthodes et leurs résultats peuvent être louables.

Ce qui m’étonnait, c’est que, au milieu de la tempête, l’humain peut voir comment garder la parole, garder le pouvoir sur les autres, plutôt que de regarder l’objectif (la sortie de tempête), dont les circonstances imposeraient qu’on se concentre sur lui.

Je me suis dit que si ces animateurs de radio sont contents, c'est finalement car ils ont le pouvoir. Ils tiennent le microphone.

Plus profondément ma réflexion se porte aussi sur la politique, et mon habituelle opposition à l’UMP et à Sarkozy m'amène encore une fois à pointer ici le degré de vacuité de leur politique. Je pointe aussi bien sûr le vide de contenu des infos donnnées par les médias, ce n'est pas pour rien que c’est l’angle d’attaque de ma réflexion du jour.

Il semble que pour l'humain, le plus important soit de conserver l’ascendant, le micro, l’accès réservé au bouton…

Pourquoi ? Mais bon sang de bonsoir!... Pourquoi ?

Une piste psychologique de réponse: Chercher à maîtriser la direction rassure, quand on n’est pas sûr du contenu.

Serait-ce l’angoisse que le contenu de notre vie soit vide qui nous fasse chercher à avoir la parole ?

Dire plutôt que faire ?

Dire que les autres n’ont rien compris, qu’ils font n’importe quoi… pour que ce soit nous à qui on donne le porte-voix ? Pour que ce soit nous à qui on confie la prise de décision ?

 

De ce point de vue, beaucoup de blogs semblent être un moyen d'exister pour beaucoup de solitaires angoissés.

 

(Charité bien ordonnée...)

 

 

 

19.02.2010

Niger: qui gère?

Bis repetita placent, je copie-colle mon commentaire chez FLN.

Ne serait-il pas temps que le pouvoir français sache tirer les ficelles du co-développement, depuis le temps que la France exploite les sous-sols du Niger?

Il s'agit tout de même de 30% de notre uranium, soit 25% de notre électricité, qui vient du Niger. Comment cela se fait-il qu'avec autant de richesses naturelles, et si peu d'habitants, le Niger soit parmi les pays les derniers pays développés du monde?

Si l'on observe le cas de la Guinée équatoriale, tout petit pays extrêmement riche en pétrole, on peut certes regretter le verre à moitié vide, mais quoi qu'il en soit, son IDH* est largement au-dessus du Niger.

Où va l'argent de l'uranium?
Répondons sincèrement et totalement (sans jeu de mot) à cette question et nous verrons un net progrès de l'IDH du Niger et nous n'aurons pas à regretter d'autre coup d'état au Niger, dans 11 ans par exemple.

 

* IDH = Indice de Développement Humain

06.02.2010

Mon choix de demeurer sympathisant du MoDem s'affirme.

Grâce à l'excellent article de FrédéricLN sur mon blog préféré, je peux réaffirmer ma position de sympathisant du MoDem.

J'ai officiellement quitté ce parti, mais je soutiens ses idées et une grande partie des mobilisations qu'il suscite. Cela correspond à mon engagement citoyen, et lorsque d'autres citoyens rejoignent ce parti par conviction et non par intérêt, cela me réjouit.

Donc, il ne faut tout de même pas être trop dur avec ceux qui partent.

Dans mon cas, tout en reconnaissant en le centre démocrate incarné par le MoDem ma famille politique, je ne peux plus m'investir dans ce parti en restant fidèle à certaines de mes profondes convictions. Je ne peux pas être plus précis pour le moment. Quoi qu'il en soit, François Bayrou n'a plus ma confiance en tant que leader de mouvement, et donc automatiquement en tant que présidentiable. Qui ne peut gérer 65.000 adhérents ne peut présider 65.000.000 de Français. C'est mathématique.

C'est une analyse d'adulte (pour répondre à Frédéric) qui m'a fait déplorer le niveau catastrophique du management du MoDem par François Bayrou et Marielle de Sarnez. Un détail sur mon état d'esprit: avant même l'incident en direct avec Cohn-Bendit, j'avais choisi de ne pas être "fan" de Bayrou sur Facebook pour ne pas me situer dans une démarche de soutien aveugle.

Je suis convaincu d'être de ce point de vue représentatif d'un grand nombre de personnes qui s'étaient placées dans l'espoir d'être fédérées en tant qu'adutes, et non en tant que fans, au sein du MoDem.

Je précise : mon vote pour les européennes est allé vers des candidats qui étaient de potentiels très bons représentants des Français: ceux du MoDem! Et pour les régionales, cela s'annonce aussi ainsi.


Enfin, sur la responsabilisation de chacun dans ses engagements politiques, je rejoins Frédéric et parce qu'il faut toujours commencer par soi, je m'attelle à avoir des engagements qui me responsabilisent en premier lieu, plutôt que de militer pour que les autres changent.

09.01.2010

comme un château de cartes

En lisant l'article suivant, je me félicitais de m'être calmé au niveau de mon antisarkozysme primaire. J'attends à présent que le moment soit de souffler sur Sarkozy, pour qu'il s'écroule... comme un château de cartes.

Article signé d'Edgar Morin, édition du Monde du 10.01.2010 (en ligne dès le 9)

01.01.2010

La fin du mythe du Sauveur

Actuellement, parmi les grandes évolutions que vit notre monde, j’en vois deux qu’il faut regarder avec davantage de perspicacité.

La première est la fin du mythe du Sauveur.

Cette fin est lente, elle tarde. Oui, ce mythe a la vie dure, car nombres de démocraties sont pleines de citoyens qui, dans leur ensemble, croient que choisir la bonne personne à la tête de l’Etat est l’étape-clé pour faire progresser leur pays.

Un mythe consiste à transformer la perception des faits réels, en fonction de croyances surnaturelles non assumées.

(Ces croyances non assumées sont des superstitions. Une religion basée sur une foi personnelle et tolérante est faite de croyances assumées. Superstitions et mythes n’ont pas de place dans une religion profonde et ouverte. En théorie. Dans la vie, tout le monde croit plus ou moins aux mythes, et est plus ou moins superstitieux.)

Pourquoi continuons-nous de penser qu’un homme ou une femme choisi(e) par 50% +1 des électeurs recevra « la force toute puissante par le pouvoir du crâne ancestral » tels que l’auraient eue Vercingétorix, Jeanne d’Arc, Henri IV, Lafayette ou De Gaulle ?

La République n’a rien de sacré, et le choix du peuple n’est pas une onction. Notre république ne mérite pas qu’on lui invente un paganisme d’apparat.

Nous sommes responsables les uns devant les autres, et les uns des autres. Là est notre contrat social.

(Et si Dieu existe, il serait fier de voir que nous ne cherchons pas à inventer des idoles pour combler je ne sais quels vides de notre existence)

Si l’on a séparé le religieux du politique, ce n’est pas pour y réintroduire du sacré, mais bien pour continuer d’expurger la vie politique de certaines manipulations des esprits.

Nous sommes responsables les uns devant les autres, et les uns des autres. C’est là notre seule bénédiction.

Où chacun va-t-il puiser sa source d’inspiration, de force, de liberté, de vertu ? Cette question humaniste n’est pas à enfermer dans le champ du politique. Le politique doit se saisir de cette question, mais surtout en laisser la part belle à tous les humains, et notamment aux penseurs quels qu’ils soient : philosophes, anthropologues, religieux ou autres.

Exemple concret :

Obama ne se veut pas « sauveur », mais il veut être force de proposition et levier d’action. Seulement il lui a fallu user d’un peu de populisme, sans lequel il n’aurait pas pu gagner les élections de 2008, c’est évident. Et aujourd’hui, le voilà un peu coincé avec son « yes, we can » qui ne met pas en mouvement ses soutiens nombreux dans une dynamique convergente, car "yes, we can"what ? ... "oui, nous pouvons", mais nous pouvons quoi ?

Nous sommes ici dans une conscientisation lente du fait que de nouveaux rapports entre le peuple et ses représentants sont à inventer.

En France, que Ségolène Royal ait gagné ou pas l’élection de 2007, la démocratie participative n’aurait de toute façon pas fonctionné.

Le modus operandi de la démocratie participative n’est toujours pas mis au point, ni par le PS ni par un autre parti.

Or, ce n’est pas parce que ce n’est pas encore au point que la démocratie participative ne doit pas être visée, ni que le mythe du Sauveur ne doit pas passer à la trappe le plus vite possible.

En outre, cette idée prônée par Ségolène Royal partait du même constat que celui que je fais maintenant : la démocratie par mandat, cette démocratie, comme je l’ai déjà dit ici, par  « chèque en blanc » signé pour 5 à 9 ans, par les électeurs, ne suffit plus.

Notre « démocratie mandataire » actuelle crée une démocratie de vernis, cela revient à accepter la démagogie comme principe de gouvernement. Depuis 2 ans, pas un parti de France n'a pas formulé de critiques très sévères contre le gouvernement actuel et son maître, le président de la République, plus ou moins directement à cause de ce problème. Les décisions prises sont assumées par leur possibilité d’être prises. La légitimité de ces décisions compte évidemment, mais elle ne vient qu’après. Si vous acceptez de suivre mon conseil, observez avec cet angle de vue les débats sur n’importe quel média, c’est atterrant.

On m’avait opposé l’argument que faire participer à certains moments de la mandature les électeurs signifiait que : si les citoyens pouvaient donner leur avis - par exemple à moitié de mandat - , cela signifierait qu’ils pourraient changer les élus à mi-mandat et donc qu’il y aurait « mandat impératif », et que cela n’est pas possible constitutionnellement !

Je ne savais plus quoi répondre. J’étais un peu consterné par le fait que si on émet une idée, il faut être capable de dérouler toute la modification constitutionnelle, sociale et politique qui s’en suit. Bref, on ne peut avoir une idée que si l’on réinvente tout le système.

Nous y voilà : La deuxième grande évolution que je vois est la fin de la puissance des systèmes.

Mais mes écrits sur les systèmes ne sont pas aboutis. Si cela vous intéresse, il vous faudra de la patience, beaucoup de patience.

A plus tard.

:-)

16.10.2009

Je ne renouvelle pas mon adhésion au MoDem, mais je suis plus que jamais sympathisant.

 

Je reconnais qu'avec ce titre, tout comme souvent dans cette note que j'ai plusieurs fois relue, « je souffle le chaud et le froid »… Je vous prie humblement d'essayer de suivre mon explication, tout au long de ses méandres.

 

J’ai été plus d’une fois railleur vis-à-vis de François Bayrou, en évoquant plus ou moins directement son management du Mouvement Démocrate.

J’ai très vite su, à la fin de l’été 2007, qu’il n’avait pas pris à bras le corps la vague d’énergie – certes très cacophonique – des militants enthousiasmés par la fondation du MoDem.

J’ai ensuite appris que cet été-là avait été très difficile pour lui personnellement. Se remettre d’un moment aussi particulier que cette « rencontre avec le peuple » constitué par la campagne présidentielle fut très dur. L’incompréhension de nous autres militants et nos critiques, moqueries, qui s’en sont suivies n’ont pas dû l’aider à nous faire confiance. OK.

Puis la deuxième vague de défections a commencé avec Cavada, et le député Thierry Benoist, ainsi qu’un nombre pas si petit que cela de militants actifs de l’UDF rejoignant aussi le Nouveau Centre… tandis que Jean Arthuis préparait doucement (non sans prendre soin de ne faire aucun cas du MoDem dans sa vie publique) son aventure… pas moins personnelle que celle de Bayrou à mon avis, mais à une échelle plus petite - donc moins coupable, peuvent penser certains esprits étriqués.

A cause de ces tentatives nombreuses et multiples de déstabilisation et de discrédit à l’encontre du MoDem, je trouvais des excuses à la tendance autocratique de notre président fondateur.

De plus, par le fait que de nombreuses choses restaient possibles (je rappelle - en espérant n’avoir aucun commentaire à ce sujet - que je participais à l’aventure MoDem aux côtés de Quitterie Delmas et Virginie Votier, car l’horizon y était toujours présenté de façon motivante), je pensais que, malgré le verre à moitié vide, le verre à moitié plein était vraiment du plein et pas du flan.

 

Aujourd’hui, j’ai deux problèmes très précis avec le MoDem.

1. « François Bayrou décide de tout avec Marielle de Sarnez ». Critique connue. Ce n’est pas d’abord à cause d’un soit disant problème de démocratie interne que je suis gêné par cela.

Ce problème-là dérange surtout ceux qui voudraient être calife à la place du calife. Même si le calife a pour fonction dame pipi au local de la section d’ailleurs. C’est le sentiment qui est laid. Et ce sentiment ne se mesure pas à la hauteur du pouvoir visé, mais au mensonge intérieur supporté par l’ambitieux vizir. Alors, qui peut juger puisque c’est intérieur ? Personnellement, je me prends souvent à penser : « ne juge pas ! qui es-tu pour juger? ». Ce n’est pas facile, tant certains n’ont pas peur du ridicule!! D’où l’absolue justesse de les comparer à Iznogoud.

Là encore, ce ne doit pas être facile pour Bayrou de diriger une bande d’Iznogoud de petit niveau.

De cette critique au moins, je peux me placer en-dehors. Grâce au conseil de mon père, j’ai toujours fait en sorte de ne briguer aucune place au MoDem tant que le projet défendu lors d’élections publiques ou internes - et ma place au sein de celui-ci - n’était pas préalablement défini un minimum. Je tire aujourd’hui le constat, un peu amer, que je n’ai jamais été candidat à quoi que ce soit. Certes, je n’ai pas toujours été très présent. Mais aussi, personne n’est venu me chercher avec un projet suffisamment défini.

Bref, je serai le premier à reconnaître que nombre de militants sont injustes et ignorants face à la difficulté de François Bayrou de mener son combat. Je l’ai été. J'avoue un vrai manque d’empathie pour quelqu’un qui a eu à supporter de si fortes pressions de tous ordres et à tous niveaux. Attention, je ne le plains pas. Je sais bien qu’il a choisi de vivre cela. Mais franchement, quand on prend l’autocar, est-ce que tout le monde gueule sur le chauffeur au moment où il fait ce qu’il peut dans les passages difficiles à négocier ?

Mais voilà. Mon problème est que : si Marielle de Sarnez est numéro 2 de notre Mouvement, pourquoi ne pas l’officialiser de manière claire et nette ??

Je veux être ici parfaitement clair et parfaitement sincère: ce n’est pas ici la proximité de nos deux chefs qui me gêne, c’est la valeur que l’on donne à l’organisation institutionnelle. Aucune entreprise ne se permettrait de fonctionner ainsi. Tout simplement parce qu’à long terme, ce n’est pas viable. De ce fait, je pense que le projet défendu par notre parti est profondément handicapé par cette faute structurelle. En outre, la démocratie a aussi pour principe la transparence de la représentation du pouvoir. Je ne parle pas de transparence totale car celle-ci est un piège dangereux. Mais un minimum est à définir. Sinon, le pouvoir n’a tout au plus de démocratique qu’un vernis. Et surtout les conséquences à long terme sont désastreuses du point de vue de l'objectif visé.

2. Pourquoi n’ai-je plus la foi dans ce MoDem ? Voici ma deuxième raison.

C’est très simple... Parce que nous sommes beaucoup trop loin des citoyens.

Ce qui m’intéressait en 2007 était le fait que nous proposions autre chose que des luttes stériles entre gauche et droite.

Pourquoi sommes-nous aujourd'hui tombés dans le panneau de l’opposition politicienne face à l’UMP ? Sans doute parce que nous n’avons pas mis à jour le logiciel politique de l’UDF devenu MoDem.

« Démocrates », affichions-nous fièrement. Mais quand sommes-nous sortis de nos habitudes pour aller vers ceux qui ne comprennent rien au jeu politico-médiatique ?

Et tiens, au passage... Quand sommes-nous allés servir la soupe populaire ?

Se taire d’abord. Observer. Puis écouter. Puis réfléchir ensemble.

Il est évident que des dizaines de millions de citoyens seraient intéressés si la réflexion partait de leurs réalités et pas de ce que nous, militants - de quelque parti que ce soit d'ailleurs - , tentons de leur expliquer. Ils accepteraient alors d’écouter ce qu’il y a de difficile dans la conception politique de la société.

Il y a certes quelque chose d'unique que nous portons: C'est un écartèlement entre dimension socio-économique et dimension politique. Cet écartèlement est un sacrifice qui nous coûte cher, mais qui fait notre profonde valeur sociale. Cette lettre de noblesse du militant nous renforce, et à juste titre. Mais comme tout chevalier, nous tendons à devenir des militaires, toujours prêts à faire parler les armes. Toujours prêts aussi à nous parer de la défense de la veuve et de l’orphelin (en l’occurrence la défense des citoyens, "qui iraient tellement mieux si on suivait les idées du camp défendu par nous"... hum, tu parles. )

Et ainsi, voilà que nous retombons dans la défense d’intérêts catégoriels... sans même nous en rendre compte. Nous défendons notre bout de gras. Parce que le plus important devient de réagir au plus vite aux propos de nos adversaires politiques.

En luttant par des discours de justification, d’attaque des mauvais comportements des ministres, en luttant par je ne sais quelles pétitions secondaires, par des groupes Facebook ou autres, nous perdons si souvent la visée première de notre Mouvement Démocrate : l’intérêt général, corrélé à l’émergence du citoyen responsable et conscient, de la personne humaine libre et digne.

Or, à ce niveau, l’objectif est le chemin.

Cette phrase m’a été soufflée par une amie chère. La manière d'arriver est pour moi notre seule dignité, car elle comprend l'exigence de la vérité.

C'est tout le contraire des procédés démagogiques, qui produisent un pourrissement social aussi dangereux qu'un poison mortel.

C'est tout le contraire du marxisme qui voulait faire advenir un paradis en passant par la violence d'une dictature des opprimés. Je reformule cette idée, idée pour moi inévitable, inaltérable : La fin ne justifie pas les moyens. La fin est dans les moyens. La vérité n'est pas une toge dont on se drape. Elle est un feu.

 

« Que vos actes soient le changement que vous voulez voir dans le monde ». (c'est de Gandhi)

Parce qu’aujourd’hui, je ne peux plus vivre cette phrase en tant que militant du MoDem, je ne renouvelle pas mon adhésion.

Je reste "sympathisant" et renouvelle tout mon soutien au collectif « Générations Engagées », qui compte en son sein des citoyens d’une rare qualité.

 

 

Quant à ceux qui voudront m'inviter dans d'autres formations politiques, c'est NIET. Le Centre démocrate est ma famille politique.

 

14.10.2009

Avant-dernière note de 2009

Bonjour à ceux qui aiment me lire, et aux autres aussi.

 

Suite à la journée de formation dont je sors, je me rends compte que j'ai mal évalué la masse de boulot que j'ai à abattre en cette année 2009/2010.

Prof, c'est plus ce que c'était! , pourrait-on résumer en simplistifiant la chose.

Je tire, encore une fois, le rideau... (cf ma référence sur la blogroll du Crapaud)

Mais je vais vous décorer ce rideau de mon blog d'un long billet, qui est le fruit d'une très longue réflexion, car je ne suis pas resté inactif politiquement: J'ai observé, médité, refait le monde, en long, en large et en travers, et surtout je me suis engagé de toutes mes forces (celles encore disponibles après que mes élèves les aient sacrément entamées) dans l'action, surtout associative. J'ai donc pu toujours confronter mes réflexions avec le réel.

RDV vendredi.

Puis RDV en 2010, mais à quel mois?

Au printemps sans doute.

Guillaume D.